03 novembre 2008

Palmyra la belle

Avant de parler de Palmyra, il faut parler du voyage pour s'y rendre. Dès le départ, le chauffeur de taxi nous a amené à la mauvaise gare d'autobus. Au lieu d'avoir un bus direct de Hama à Palmyra, il nous aura fallu passer par Homs. Pas un détour, mais le minibus qui nous y emmène est plein et on doit prendre nos bagages sur nous... pendant 45 minutes. Çà c'était pas si pire encore. On a dû attendre 2 heures à Homs pour le transfert, et quand on a été dans l'autobus, c'était loin d'être fameux. Le chauffage et la climatisation étaient dans le fond tous les deux. Comme on passait dans le désert, disons seulement que le chauffage a gagné. Mais c'était beau par exemple!


Palmyra maintenant. On savait à quoi s'attendre à Palmyra. C'est hyper-touristique et le tourisme n'est plus ce qu'il était. Donc on savait qu'en débarquant, il y aurait des dizaines de jeunes garçons nous incitant à venir à un hôtel, nous tirant par le sac. Qu'elle n'a pas été notre surprise quand on a vu qu'il n'en était rien. En fait, personne ne nous attendait et en fait, ça a presque été difficile de trouver notre hôtel. On a profité de la fin de notre après-midi pour aller voir le coucher de soleil sur les ruines, et ça en valait la peine.


Ce matin, on s'est levés à 3h30 pour aller voir le lever du soleil sur les mêmes ruines, puisqu'on nous avait indiqué que le soleil se lèverait à 4h30. Les premiers rayons sont apparus à 5h45! Certains vous diront qu'il fait froid dans le désert la nuit... Faux! Il fait frette en ***!!! Néanmoins, c'était magnifique; nos plus belles photos ont été faites ce matin. Plus tard dans l'avant-midi, un sympathique groupe de français nous a accueilli à bord de leur belle autobus pour nous donner un lift vers un site au loin. C'était... drôle!


Finalement, Palmyra nous a bien charmés malgré nos appréhensions. Demain, Damas.

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